Il y a quelques mois j'ai échangé avec une femme convertie depuis 3 ans, qui avait été disciple d'un maître français de bouddhisme tibétain dans le passé. Il s'agit du bouddhisme tibétain chöd.

Voici ce qu'elle m'a raconté au sujet d'une initiation, à un certain degré: le lieu d'initiation était un château aux environs de Paris. Le maître, le soir venu a dit aux disciples d'aller dans le bois et de "pratiquer". Il est parti, en prévenant que certains pourraient vivre des choses inattendues. "Pratiquer" veut dire plus ou moins prier, invoquer, énoncer des formules. Elle s'est donc retrouvée seule de nuit, à "pratiquer" dans le bois. Très vite elle a senti des présence grouillantes et menaçantes autour d'elle. Elle a ouvert les yeux: rien. Elle a pratiqué d'autant plus en sentant toujours ces présences autour d'elle. Au bout d'un moment, n'en pouvant plus, elle a rejoint le château. D'autres participants étaient déjà là. Elle est allée se coucher, et à ce moment une présence immatérielle l'a saisie à la gorge en l'étranglant; elle est restée suffocante, paralysée et terrorisée jusqu'au matin.

Le maître est arrivé. Il a dit: "Je sais que certains d'entre vous en vécu certaines choses cette nuit: sachez maintenant que si vous cessez de "pratiquer" et de prier pour moi, cela ne cessera pas". Voilà en gros le régime de terreur qui existe derrière le bouddhisme tibétain.
Ils invoquent littéralement des "démons" en permanence. Certes, ils ne mettent pas le même sens dans ce mot de démon, mais ce sont pourtant bien des démons avec qui ils commercent en permanence, et ils ne cesse jamais de pratiquer.

Cette dame m'a également raconté certains rituels au cours desquels des "statues" sont remplies d'offrandes et littéralement investies par des esprits. A cette occasion des phénomènes occultes de claquements (esprits frappeurs, "poltergeist") se produisent.

Cette dame a fini par quitter le bouddhisme, poursuivie pendant des années par des vexations occultes (épée immatérielle lui traversant le corps pendant la nuit, épuisement, sans force même pour aller à l'épicerie pour acheter de quoi se nourrir, etc.)

Finalement elle a contacté un prêtre exorciste par téléphone, en lui disant qu'elle ne se sentait malheureusement pas la force de venir en voiture. Le prêtre lui a dit de ne pas s'inquiéter, qu'on prierait pour elle et qu'elle aurait la force.
De fait, le soir venu, dans son lit, d'un coup les forces lui sont revenues: elle a compris qu'on priait pour elle. etc.